Un nom, un engagement : explorer avec sincérité et exigence, questionner les pratiques, refuser les raccourcis, c’est tout l’esprit de cerealiste.
Dans un marché en pleine transformation, il est devenu urgent d’améliorer la fluidité de l’information pour permettre à chacun de ses acteurs d’appréhender leur environnement concurrentiel.
La création de ce nouveau média répond à un besoin simple : celui d’un contenu riche d’une véritable expertise métier, fruit d’une proximité entretenue avec la filière.
Dans un contexte où l’intensité concurrentielle ne cesse de s’intensifier et où la boulangerie artisanale indépendante fait face à des événements pouvant entrainer la disparition d’une partie conséquente de ses entreprises, prendre du recul et mener des réflexions non biaisées s’impose comme un choix évident et nécessaire pour penser l’avenir.
Ce n’est désormais plus l’affaire d’entrepreneurs ambitieux ou d’artisans engagés, mais un sujet de filière : en l’absence d’une volonté affirmée de faire évoluer les codes, concepts et idées implantés dans l’écosystème de la boulangerie-pâtisserie, les difficultés s’étendront rapidement à l’amont.
Plutôt que de céder à la tentation du repli sur soi, particulièrement forte dans des contextes de crise, faire le pari du pluralisme et de l’ouverture est aussi complexe qu’évident.
Il faut en effet renoncer aux visions manichéennes qui ont longtemps opposé les différents segments de la boulangerie-pâtisserie : l’idée selon laquelle il existerait un « gentil artisan » contre un « méchant industriel » a vécu, et avec elle l’opposition entre la « boulangerie de rond-point » et les artisans indépendants, devenue tout aussi dépassée.
La multiplicité des enjeux – qu’ils soient économiques, sociétaux, environnementaux…- doit nous inciter à fédérer plus largement pour partager une vision engagée et moderne du métier, dont la participation à la transition alimentaire en cours est indispensable.
Comptez sur cerealiste pour prendre part à ce mouvement, dès aujourd’hui et pour longtemps.
